Dans ce premier tome de la trilogie, l'accent est mis sur le cardinal Rodrigo Borgia, père entre autres des jeunes César et Lucrèce. D'origine espagnole, il a peu de chance d'accéder à la succession du pape Innocent VIII. Il attise haine et jalousie dans cette Rome pervertie au point qu'une personne essaie d'attenter à ses jours mais c'est un de ses jeunes fils qui est victime de l'empoisonnement.