Mardi 30 juillet 20:30
La verrière, Villard-de-Lans
Ils s’appelaient Sa Traoré, Samba N’Dour, Sidi Konaté… Ils étaient originaires de Côte-d’Ivoire, du Sénégal, de Guinée… Ils appartenaient aux troupes coloniales, connus sous l’appellation générique de « tirailleurs sénégalais ».
Après la bataille de France et l’armistice de juin 1940, ils connurent la détention dans différentes structures, des Frontstalag au camp de la Doua (Rhône), jusqu’au jour de juin 1944 où des résistants venus du Vercors, acteurs d’un audacieux coup de main, vinrent les libérer.
Formant dès lors la « Section franche des Sénégalais » intégrée au 11e régiment de cuirassiers, ils vont prendre part à la lutte contre l’occupant auprès des FFI, vivre les heures les plus sombres de la bataille du Vercors et participer ensuite aux combats de libération au sein de la 1ère DFL.
Ce livre, synthèse de témoignages et de documents épars, sort de l’anonymat cinquante-deux combattants africains trop longtemps oubliés, retrace leur parcours et ravive leur souvenir.
Ils s’appelaient Sa Traoré, Samba N’Dour, Sidi Konaté… Ils étaient originaires de Côte-d’Ivoire, du Sénégal, de Guinée… Ils appartenaient aux troupes coloniales, connus sous l’appellation générique de « tirailleurs sénégalais ».
Après la bataille de France et l’armistice de juin 1940, ils connurent la détention dans différentes structures, des Frontstalag au camp de la Doua (Rhône), jusqu’au jour de juin 1944 où des résistants venus du Vercors, acteurs d’un audacieux coup de main, vinrent les libérer.
Formant dès lors la « Section franche des Sénégalais » intégrée au 11e régiment de cuirassiers, ils vont prendre part à la lutte contre l’occupant auprès des FFI, vivre les heures les plus sombres de la bataille du Vercors et participer ensuite aux combats de libération au sein de la 1ère DFL.
Ce livre, synthèse de témoignages et de documents épars, sort de l’anonymat cinquante-deux combattants africains trop longtemps oubliés, retrace leur parcours et ravive leur souvenir.